Je n'ai pas saisi le rapport entre la chanson et l'imagerie militaire du clip... Par contre z'étaient pas dégueu les roploplos ! :) Dans le genre adaptation d'un grand poète et voix sensuelle, ça m'a rappelé ce morceau sur un album que j'adore de Celtic Frost : https://www.youtube.com/watch?v=8GldjAfBZts
Je pense qu'il s'agit de l'armée de BB. Une vision après avoir parcouru l'Amour monstre, un ouvrage écrit à coup de fouet selon Brigitte Bardot. L'album de Therion justement s'appelle Les fleurs du mal ;) J'en reviens pas que Celtic Frost soit si vieux. 1984 ! J'étais vraiment passée à côté. Je les découvre depuis peu tous ces groupes en fait.
Ce qui est curieux c'est le changement de style assez radical après "Into The Pandemonium". Je n'ai pas compris... Les trois premiers albums sont des modèles du genre en matière de sauvagerie et de... rugosité ;) Dans le genre, et suisse également, j'adore leurs potes de Coroner.
Comme Celtic Frost, les Vyllies ont effectué un virage en forme de sortie de route, leur premier album Lilith est excellent, cold wave hanté du plus bel effet. Leur second, Sacred Games, est par contre bien moins réussi, tristement new wave dans ce que le style a de plus banal.
Je ne connaissais pas le clip… qui nous éloigne de l'atmosphère envoûtante et mystique de la chanson originale de monsieur Serge. Il y a des reprises plus intéressantes sur l'album (Les Fleurs du mal, sorti en 2012). Reste un joli défilé de lolos, ça peut se regarder sans le son… mais les yeux grands ouverts !!!
Étonnant toutes ces remarques par rapport au clip. Je trouve qu'il colle impeccable à l'humeur sado maso de la chanson. Le texte puise son inspiration gothique dans The raven d'Edgar Allan Poe (qui inspira également un album à Lou Reed) Les fleurs du mal de Baudelaire et il y a l'évocation de L'amour monstre de Pauwels. Les médailles d'imperator, la marque des esclaves, les cuivres de La symphonie du nouveau monde de Dvorak et Almeria qui symbolise la rupture, tout cela est bien dans l'esprit dictature et soumission que l'on retrouve dans le clip, fusse la dictature de la beauté et la soumission amoureuse, la souffrance reste de mise.
Je n'ai pas saisi le rapport entre la chanson et l'imagerie militaire du clip... Par contre z'étaient pas dégueu les roploplos ! :)
RépondreSupprimerDans le genre adaptation d'un grand poète et voix sensuelle, ça m'a rappelé ce morceau sur un album que j'adore de Celtic Frost :
https://www.youtube.com/watch?v=8GldjAfBZts
Je pense qu'il s'agit de l'armée de BB. Une vision après avoir parcouru l'Amour monstre, un ouvrage écrit à coup de fouet selon Brigitte Bardot.
SupprimerL'album de Therion justement s'appelle Les fleurs du mal ;) J'en reviens pas que Celtic Frost soit si vieux. 1984 ! J'étais vraiment passée à côté. Je les découvre depuis peu tous ces groupes en fait.
Ce qui est curieux c'est le changement de style assez radical après "Into The Pandemonium". Je n'ai pas compris...
SupprimerLes trois premiers albums sont des modèles du genre en matière de sauvagerie et de... rugosité ;)
Dans le genre, et suisse également, j'adore leurs potes de Coroner.
Je vais écouter tout ça merci ;)
SupprimerEn parlant de Suisse et d'accointances, tu dois aussi connaître The Vyllies, ce groupe de filles plutôt gothiques ?
Je pensais que c'était du Thrash également. En fait c'est New Wave. Je ne connaissais pas.
SupprimerComme Celtic Frost, les Vyllies ont effectué un virage en forme de sortie de route, leur premier album Lilith est excellent, cold wave hanté du plus bel effet. Leur second, Sacred Games, est par contre bien moins réussi, tristement new wave dans ce que le style a de plus banal.
SupprimerJe ne connaissais pas le clip… qui nous éloigne de l'atmosphère envoûtante et mystique de la chanson originale de monsieur Serge. Il y a des reprises plus intéressantes sur l'album (Les Fleurs du mal, sorti en 2012).
RépondreSupprimerReste un joli défilé de lolos, ça peut se regarder sans le son… mais les yeux grands ouverts !!!
Étonnant toutes ces remarques par rapport au clip. Je trouve qu'il colle impeccable à l'humeur sado maso de la chanson. Le texte puise son inspiration gothique dans The raven d'Edgar Allan Poe (qui inspira également un album à Lou Reed) Les fleurs du mal de Baudelaire et il y a l'évocation de L'amour monstre de Pauwels. Les médailles d'imperator, la marque des esclaves, les cuivres de La symphonie du nouveau monde de Dvorak et Almeria qui symbolise la rupture, tout cela est bien dans l'esprit dictature et soumission que l'on retrouve dans le clip, fusse la dictature de la beauté et la soumission amoureuse, la souffrance reste de mise.
RépondreSupprimerEt Dieu crée Bardot Brigitte le mythe , la femme !
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