dimanche 14 mai 2017

Un mea culpa pour Madonna




Je pense qu'on a suffisamment dit et entendu tout ce qu'il se faisait de pire en terme de méchanceté et de calomnies sur Madonna, qu'il serait bien malvenu d'en rajouter encore, alors je propose -en ce jour historique d'investiture de notre nouveau Président de la république 😏-, de remette les compteurs à zéro, et de rendre grâce à notre Madone qui, en plus de nous avoir régalé avec des films comme Il était une fois Broadway de Howard Brookner ou avec Dick Tracy aux côtés de Warren Beatty, restera le plus grand symbole des années 80, vestimentairement et musicalement parlant.


Même s'il y a des albums que je trouve nuls comme Confessions on a Dance Floor par exemple où il n'y a vraiment rien à en tirer, je vais pas chipoter, je reste une inconditionnelle de Holiday, Into The Groove, Papa Don't Preach, True BlueLike a Payer -dont Prince était un des producteurs-, et un tas d'autres en gros ! Alors si l'on t'a souvent offensé, pardonne-nous Mado, on t'aime 😍💓💓 


                                                              

jeudi 4 mai 2017

I spit on your grave




Ce film fut interdit au Canada, en Australie, au Royaume Uni, en Allemagne de l'Ouest et je ne sais où encore, a reçu les critiques les plus négatives d'un journaliste américain très influent, mais reste malgré tout, le meilleur rape and revenge que j'ai vu à ce jour. Non seulement de par l'interprétation sobre et volontaire de Camille Keaton, mais également par le talent hors pair de son réalisateur, d'avoir joué avec le chaud et le froid, en mêlant -entre autre- la beauté et le calme des lieux face à l'horreur des faits, ainsi que les cris de douleurs suivis des silences assourdissants et menaçants de la jeune et citadine Jennifer Hill. La preuve en est qu'il ne suffit pas d'avoir un gros budget pour faire un bon film, mais bien des idées qui en découlent.


Il s'agit de I Spit on your Grave de Meir Zarchi (sorti en 1978), un film pour les femmes qui désirent le rester 👍