lundi 31 juillet 2017

Sylvie Ciné Revue



Suite à une traque agressive et sans relâche, les chasseurs d'images maitrisèrent enfin leur proie. C'était la Princesse Diana, il y a 20 ans de cela. La faute à pas d'chance comme on dit... peut-être. Mais soyons honnête un instant; "Qui se nourrit de qui ?" (Vous avez quatre heures). 😍


Les débats sont donc grands ouverts. Car oui, comme James Franco nous aimons la philosophie, et ce nouveau numéro de Sylvie Ciné Revue y sera consacré à travers deux petits points d'actualité, car nous sommes de toute évidence, bel et bien entrés dans un nouveau millénaire. 


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Alors après le temps des cathédrales, il est aussi venu celui de régler les factures, même à titre posthume, comme en témoignera bientôt l'ADN prélevé sur Salvador Dali, afin de découvrir si oui ou non, Pilar Abel est réellement le fruit de l'amour clandestin que le peintre aurait entretenu il y a trente ans avec sa domestique. La seule chose que nous savons à ce jour, est que sa moustache affiche toujours 10h 10. Ce n'est pas une première dans l'histoire de demande de paternité, mais je pense qu'à chaque requête médiatisée, pas mal doivent aujourd'hui croiser les doigts bien fort. Sans parler des enfants "légitimes" qui se pensaient à l'abri derrière quelques petites ou grosses fortunes et doivent malgré eux partager le gâteau 😅😅


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Une ère se termine, une autre se profile, c'est le tourbillon de la vie. Bon voyage à Jeanne Moreau et Sam Shepard et surtout merci pour ces moments de grâce. Le Sylvie Ciné Revue reviendra  bientôt pour un spécial série, en attendant prenez soin de vous 😘😘


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