lundi 24 septembre 2012

Poupée de cire, poupée de son


2 commentaires:

  1. Ha ! Shelley Duvall, tu me prends par les sentiments là. C'est simple en ce qui me concerne, c'est l'une des 3 ou 4 plus grandes. Instinctive dans le jeu (elle n'est pas plus actrice que moi, Altman l'a quasiment découvert en faisant les boutiques) tout autant que dans ses choix de carrière, Shelley Duvall est à mille lieues de ce qu'Hollywood veut nous vendre en matière de femmes et pourtant elle imprime la pellicule avec une classe, une tendresse que seule l'autre grande dame des 70's peut égaler, Sissy Spacek !
    Outre leur collaboration pour le superbe 3 Women d'Altman, on peut d'ailleurs noter que ces deux là ont quelques parallèles de carrière, le triomphe dans un film tiré de Stephen King d'abord (Carrie pour l'une, Shining pour l'autre, film qu'elle sauve de par sa présence en compensant de sa retenue le cabotinage ulcérant de nicholson) puis direction Woody Allen non sans avoir l'une participé à Nashville (altman, encore) et l'autre à Nashville Lady (ok, c'est tiré par les cheveux mais c'est deux films country et en plus il est 7h30 du matin)

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